FaKiR
Meþveret Bþk.
Un des nombreux exemples de sagesse dans le jeûne du ramadan en ce qui concerne l’écrasement de la souveraineté imaginaire de l’âme la connaissance de son adoration en montrant sa faiblesse, est exprimé en ces termes :
l’âme ne veut pas connaitre son Dieu ;
elle veut être son propre souverain, comme un despote. Cependant autant qu’on la fait souffrir, son caractère restera inchangé.
Mais son caractère change par la faim. Ainsi le jeûne du mois de ramadan frappe-il des coups directs au front du despotisme de l’âme, en le brisant.
Il lui montre sa faiblesse, son impuissance et sa pauvreté. Il lui fait rendre compte que c’est un serviteur.
Selon l’une des versions d’un Hadith,
Dieu a demandé à l’âme :
-Qui suis-je ? Et qui es-tu ?
L’âme a répondu :
-Moi, c’est moi et toi, c’est toi !
Alors il l’a punie et l’a jetée en Enfer. Une fois de plus, il a demandé à nouveau, il l’a interrogée. Toujours elle l’a répondu :
-Moi c’est moi et toi c’est toi !
Cependant il l’a punie de toutes les manières, elle n’a pas prononcé à son égoïsme. Ensuite, il l’a punie par la faim, c'est-à-dire, qu’il l’a laissé affamée. Encore une fois il a demandé :
-Qui sui-je ? Et qui es-tu ?
Et elle a répondu :
-Tu es mon Seigneur miséricordieux et je suis ton serviteur impuissant .
elle veut être son propre souverain, comme un despote. Cependant autant qu’on la fait souffrir, son caractère restera inchangé.
Mais son caractère change par la faim. Ainsi le jeûne du mois de ramadan frappe-il des coups directs au front du despotisme de l’âme, en le brisant.
Il lui montre sa faiblesse, son impuissance et sa pauvreté. Il lui fait rendre compte que c’est un serviteur.
Selon l’une des versions d’un Hadith,
Dieu a demandé à l’âme :
-Qui suis-je ? Et qui es-tu ?
L’âme a répondu :
-Moi, c’est moi et toi, c’est toi !
Alors il l’a punie et l’a jetée en Enfer. Une fois de plus, il a demandé à nouveau, il l’a interrogée. Toujours elle l’a répondu :
-Moi c’est moi et toi c’est toi !
Cependant il l’a punie de toutes les manières, elle n’a pas prononcé à son égoïsme. Ensuite, il l’a punie par la faim, c'est-à-dire, qu’il l’a laissé affamée. Encore une fois il a demandé :
-Qui sui-je ? Et qui es-tu ?
Et elle a répondu :
-Tu es mon Seigneur miséricordieux et je suis ton serviteur impuissant .