CPEi : EXAMEN MACROÉCONOMIE 4

FaKiR

Meþveret Bþk.
HEI2B04 : MACROECONOMIE
Examen de première session du mercredi 13 mai 2009 (50 minutes)
Machine à calculer autorisée & Aucun document autorisé
Enseignement de Monsieur Assen SLIM
Consigne :
Une seule bonne réponse par question
Barème :
+ 4 points par bonne réponse
0 point en cas d’absence de réponse
– 1 point par mauvaise réponse
« La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles,
mais d’échapper aux idées anciennes »
John Maynard KEYNES
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Source : http://www.memo.fr/Media/Keynes.jpg (consultation du 05/05/2009)
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[FONT=&quot]
[/FONT]
121.
Dans la fonction de consommation keynésienne (C) suivante, à quoi correspond « c » ?
C = cY + C0
A. à la propension moyenne à consommer
B. à la propension marginale à consommer
C. à la consommation incompressible
D. au revenu

122.
D’après Keynes, lorsque le revenu d’un agent économique croit :
A. la consommation croit, mais non d’une quantité aussi grande que l’accroissement du revenu
B. la consommation croit d’une quantité comparable à l’accroissement du revenu
C. la consommation croit d’une quantité plus grande que l’accroissement du revenu
D. la consommation reste constante

123.
En étudiant statistiquement les comportements de consommation des ménages américains de 1869 à 1938, l’économiste américain Simon Kuznets montre qu’à long terme :
A. toute augmentation du revenu se traduit par une diminution équivalente de la propension moyenne à consommer
B. toute augmentation du revenu se traduit par une diminution plus que proportionnelle de la propension moyenne à consommer
C. toute augmentation du revenu se traduit par une augmentation équivalente de la consommation
D. toute augmentation du revenu se traduit par une diminution équivalente de la propension moyenne à épargner

124.
L’effet cliquet (ou effet crémaillère) décrit par Thomas Brown en 1952 indique que :
A. le niveau de consommation des ménages dépend à court terme de celui de leurs groupes de référence
B. le niveau de consommation des ménages dépend de celui des ménages de la catégorie sociale supérieure
C. le niveau de consommation des ménages dépend à court terme du revenu courant et des revenus futurs anticipés
D. le niveau de consommation des ménages dépend à court terme du revenu courant et des revenus perçus dans le passé

125.
Dans la théorie du cycle de vie :
A. les individus connaissent a priori leur durée de vie et leurs revenus futurs
B. les individus ne connaissent pas a priori leur durée de vie et leurs revenus futurs
C. les individus épargnent dès leur jeunesse
D. les individus sont immortels

126.
L’AER signifie :
A. l’allocation pour l’enseignement et la recherche
B. l’allocation pour l’entreprenariat régional
C. L’allocation pour l’emploi et la reconversion
D. l’allocation équivalent retraite

127.
Dans la formule de calcul de la pension retraite PR = SM . T . (D/160) :
A. SM correspond au salaire moyen, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de semestres
B. SM correspond au salaire moyen, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de trimestres
C. SM correspond au salaire marginal, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de semestres
D. SM correspond au salaire marginal, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de trimestres

Patrick Devedjian fait le point sur le plan de relance en conseil des ministres,
8 avril 2009, New Press

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[/FONT] Patrick Devedjian a fait un point d'étape sur les avancées de la mise en œuvre du plan de relance, deux mois après la promulgation du premier collectif budgétaire pour 2009.
Le texte de la communication présentée en Conseil des ministres
Le ministre auprès du Premier ministre, chargé de la mise en œuvre du plan de relance a présenté une communication relative à la mise en œuvre du plan de relance.
Deux mois après la promulgation du premier collectif budgétaire pour 2009 et de la loi d'accélération des programmes de construction et d'investissement publics et privés, suivie de l'adoption d'une liste de plus de 1 000 projets, le plan de relance se traduit désormais par des opérations concrètes sur le terrain.
Les 26 Mds euros de moyens mobilisés lors du premier collectif pour 2009 s'inscrivent dans le cadre des mesures prises par le Gouvernement depuis l'été pour soutenir l'économie, notamment :
- les 10 milliards d'euros de baisses d'impôts en 2009 pour les entreprises et les ménages,
- les 9,8 milliards d'euros consacrés à la revalorisation des prestations sociales et à la création du RSA pour que la solidarité nationale joue à plein,
- les 6 milliards d'euros de dotation au Fonds stratégique d'investissement pour soutenir et protéger les entreprises françaises.
Les mesures additionnelles qui viennent d'être votées dans le deuxième collectif pour 2009 vont dans le même sens (diverses mesures de justice et de soutien de la demande pour 2,6 Mds euros et plan automobile pour 6,5 Mds euros).
Parallèlement, le Gouvernement a décidé de laisser jouer pleinement les stabilisateurs automatiques.
Ensemble, ces facteurs conduisent à un déficit budgétaire de plus de 100 Mds euros cette année.
L'exécution du plan de relance a pleinement démarré :
- les entreprises ont bénéficié fin février de 5,8 milliards d'euros de remboursements accélérés de crédits fiscaux ;
- 6,5 milliards d'euros de crédits ont été mis à disposition des ministères et des opérateurs nationaux au titre du plan de relance, dont 1,3 milliard d'euros ont d'ores et déjà été payés.
Grâce à une mobilisation rapide, des chantiers ont été lancés, y compris par les grandes entreprises publiques qui participent pleinement à l'effort de relance :
- près d'une centaine de projets dans les infrastructures, répartis sur l'ensemble du territoire national, ont démarré. Une grande partie concerne des monuments historiques. Plusieurs projets universitaires, de recherche et d'infrastructure de transports ont aussi démarré. Une deuxième centaine de chantiers nouveaux d'entretien et d'infrastructures routières, d'aménagements portuaires et d'interventions sur le réseau ferroviaire seront engagés entre avril et juillet prochain : ce rythme correspond à la trajectoire prévue d'écoulement des projets ;
- 4 800 conventions FCTVA ont été signées à ce jour ;
- 85 000 véhicules ont d'ores et déjà bénéficié de la prime à la casse, qui rencontre un vif succès ;
- 110 000 demandes ont été reçues au titre de l'aide à l'embauche dans les TPE ;
- en ce qui concerne le soutien à l'activité, le nouveau dispositif de garantie d'OSEO, élargi aux entreprises de taille intermédiaire, est opérationnel ;
- en matière de solidarité, les moyens nouveaux accordés aux aides à la pierre, à l'ANRU et à l'Anah sont en place et des objectifs ont été fixés pour chaque territoire ;
- la prime de solidarité active, qui anticipe le revenu de solidarité active, est en cours de versement depuis le 6 avril aux ménages les plus modestes.
Sur nombre d'actions des différents programmes, le plan de relance prolonge les décisions du Grenelle de l'environnement et contribue à positionner la France comme un leader de la croissance verte.
Pour suivre cette dynamique, un outil de pilotage des 1 000 projets a été élaboré, en adaptant certains systèmes informatiques de l'Etat. Le dispositif, qui s'appuie sur les préfets de région permet d'assurer un suivi rigoureux et transparent du plan. Il se décline en des supports de communication à destination du grand public, au travers notamment du site Internet de la relance.
(La relance en marche | Portail du Gouvernement[http://www.relance.gouv.fr]).

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[/FONT] FRANCE-ECONOMIE-RELANCE|LANGFR|FA|REF|FB|RTF|DNP

128.
En économie fermée, quel est le multiplicateur keynésien le moins efficace en terme de croissance du PIB ?
A. le multiplicateur d’exportation
B. le multiplicateur d’investissement
C. le multiplicateur des dépenses publiques
D. le multiplicateur fiscal

129.
Dans le cadre théorique du multiplicateur fiscal en économie fermée, considérant que les investissements et la consommation devraient rester constants en 2009 et sachant que la propension marginale française s’établira à 0,76 cette année, quelle devrait être la variation du PIB français en 2009 ? (La variation des impôts est donnée dans le texte).
A. le PIB français devrait décroître de l’ordre de 31,67 milliards d’euros
B. le PIB français devrait décroître de l’ordre de 41,67 milliards d’euros
B. le PIB français devrait augmenter de l’ordre de 41,67 milliards d’euros
D. le PIB français devrait augmenter de 31,67 milliards d’euros

130.
Le RSA mentionné dans le texte :
A. est entré en vigueur le 1er juin 2007
B. est entré en vigueur le 1er juin 2008
C. va entrer en vigueur le 1er juin 2009
D. va entrer en vigueur le 1er juin 2010

131.
Les stabilisateurs automatiques dont il est question dans le texte :
A. consistent à augmenter le taux d’imposition
B. permettent une augmentation des exportations
C. permettent un retour progressif à l’équilibre budgétaire
D. entraînent un déficit budgétaire important

132.
La « courbe de Laffer » indique :
A. que plus le taux d’imposition croît, plus les recettes fiscales augmentent
B. que plus le taux d’imposition décroît, plus des recettes fiscales diminuent
C. qu’il existe un taux d’imposition optimal au-delà duquel les recettes fiscales diminuent
D. que plus le taux d’imposition décroît, plus le PIB augmente

133.
Selon Karl Marx, qu’est-ce qui influence la consommation des ménages ?
A. l’appartenance à un groupe de référence
B. l’âge
C. le sexe
D. l’appartenance à une classe sociale

134.
la théorie de l’ « homo œconomicus » fait référence ?
A. à un agent économique altruiste
B. à l’homo erectus
C. à un agent économique mû par une rationalité imparfaite
D. à un agent économique mû par une rationalité pure et parfaite

135.
Que peut-on dire de l’élasticité-prix de la demande (Ep/d) pour le bien dont la courbe de demande est représentée ci-dessous ?
A. Ep/d tend vers + ∞
B. Ep/d = 0
C. Ep/d tend vers + ∞
D. On ne peut rien dire

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136.
L’« effet Veblen » désigne une élasticité-prix de la demande de biens :
A. égale à zéro
B. négative
C. positive
D. instable

137.
L’élasticité-prix de la demande de biens de luxe a été étudiée par :
A. Veblen
B. Giffen
C. Hansen
D. Keynes

138.
L’élasticité-prix de la demande des biens dits « substituables » :
A. varie entre ] 0 ; + ∞ [
B. est égale à zéro
C. varie entre ] – ∞ ; 0 [
D. n’existe pas


139.
L’élasticité-revenu de la demande des biens dits « supérieurs » (bien culturels par exemple) :
A. varie entre ] 1 ; + ∞ [
B. varie entre [ 0 ; 1 ]
C. varie entre ] – ∞ ; 0 [
D. n’existe pas

140.
Selon la théorie de la « filière inversée » proposée par John K. Galbraith :
A. les consommateurs ont des besoins que les entreprises cherchent à satisfaire
B. les entreprises créent des besoins chez les consommateurs afin d’écouler leurs produits
C. les firmes multinationales doivent adopter une stratégie globale
D. le « patriotisme économique » doit être généralisé dans toute la sphère de production

Données macroéconomiques pour la France en 2005 et 2006 (milliards d’euros)


2006

2007
PIB
1792
1892
Dépenses de consommation finale
1440
1359
Source : Insee

141.
A partir du tableau ci-dessus, on peut affirmer que :
A. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,19
B. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,28
C. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,80
D. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,32

142.
A partir du tableau ci-dessus, on peut affirmer que :
A. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 0,19
B. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 0,81
C. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 1,81
D. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 0,10

143.
A partir du tableau ci-dessus, on peut affirmer que :
A. En 2007, les dépenses de consommation finale ont augmenté de 5,625 %
B. En 2007, les dépenses de consommation finale ont baissé de 5,625 %
C. En 2007, les dépenses de consommation finale ont augmenté de 5,96 %
D. En 2007, les dépenses de consommation finale ont baissé de 5,96 %

144.
Quels sont les trois motifs qui poussent les agents économiques à épargner selon Keynes ?
A. motif de transaction, motif de précaution, motif de spoliation
B. motif de précaution, motif de rétention, motif de spéculation
C. motif de spéculation, motif de transaction, motif de précaution
D. motif de filiation, motif de précaution, motif de standardisation

145.
Le taux d’épargne des ménages correspond :
A. à la partie du revenu qui permet de financer les investissements en logement
B. au rapport entre l’épargne brute et le revenu disponible brut
C. au rapport entre la FBCF des ménages et le revenu disponible brut
D. au taux de liquidation de la pension de retraite divisé par 160

146.
Les quatre objectifs prioritaires de politique économique retenu dans le « carré magique » de Kaldor sont :
A. un taux d’inflation fort, un taux de croissance fort, un taux de chômage faible, un solde positif de la balance des transactions
B. un taux d’inflation faible, un taux de croissance faible, un taux de chômage fort, un solde de la balance des transactions
C. un taux d’inflation faible, un taux de croissance fort, un taux de chômage faible, un solde négatif de la balance des transactions
D. un taux d’inflation faible, un taux de croissance fort, un taux de chômage faible, un solde positif de la balance des transactions
147. La théorie quantativiste de la monnaie montre que :
A. plus la masse monétaire augmente, plus le niveau général des prix augmente
B. plus la masse monétaire diminue, plus la vitesse de circulation de la monnaie augmente
C. plus le nombre de transactions augmente, plus la masse monétaire diminue
D. plus le niveau général des prix augmente, plus la vitesse de circulation de la monnaie augmente

148.
Cochez l’élément qui n’est pas de la monnaie :
A. les billets et pièces
B. les dépôts sur compte courant
C. les actions
D. les titres d’OPCVM

149.
Ne sont pas monnaies dans l’agrégat M1 :
A. les pièces
B. les chèques
C. les livrets A
D. les titres interbancaires de paiements

150.
La création monétaire appelée « ex nihilo » désigne :
A. les billets et pièces émis par la banque centrale
B. les chèques émis par les clients des banques
C. la monnaie créée grâce aux crédits accordés par les banques commerciales
D. la monnaie issue des activités illicites

151.
Concernant l’activité bancaire, quelle est la bonne proposition ?
A. les dons font les dépôts et les crédits
B. les crédits font emprunts
C. les dépôts font les crédits
D. les crédits font les dépôts

152.
En matière de politique monétaire, la facilité de dépôt de 24h :
A. correspond à la vente de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
B. correspond à l’achat de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
C. permet de couvrir les insuffisances de liquidités des banques
D. permet d’absorber les liquidités excédentaires des banques

153.
Quelle hypothèse n’est pas une hypothèse du modèle ISLM (Hicks/Hansen) ?
A. il n’y a pas d’inflation à court terme
B. le taux d’intérêt est fixe
C. il y a sous-emploi des capacités productives
D. on raisonne en économie fermée
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154.
Que peut-on déduire du graphique ci-dessus ?
A. les agents économiques sont peu sensibles aux variations du taux d’intérêt
B. les agents économiques sont très sensibles aux variations du taux d’intérêt
C. l’investissement est peu sensible aux variations du taux d’intérêt
D. Aucune des réponses précédentes
155. Que se passe-il lorsque l’offre de monnaie augmente ?
A. le taux d’intérêt (r) augmente
B. la demande de monnaie pour motif de spéculation (L2(r)) diminue
C. l’équilibre LM se déplace vers la droite
D. l’équilibre LM se déplace vers la gauche

156.
En matière de chômage, l’INSEE utilise la notion de :
A. « population sans emploi à la recherche d’un emploi »
B. « demandeur d’emploi en fin de mois »
C. « personne inactive à la recherche d’un emploi »
D. « personne active inemployée ne recherchant pas d’emploi »

157.
Parmi les quatre profils décrits ci-dessous quel est celui qui présente le plus de risque d’être au chômage ?
A. Julie, 22 ans, sans diplôme, résidant à Villeneuve-sur-Lot (47)
B. Sébastien, 24 ans, sans diplôme, résidant à Aniane (34)
C. Karima, 34 ans, diplômée d’un master de Tigrinya aux Langues’ O et résidant à Créteil (94)
D. Aawiya, 23 ans, sans diplôme, résidant à Paris (75)

158.
L’approche keynésienne du chômage considère que les actifs inemployés :
A. n’existent pas
B. sont des fainéants
C. le sont volontairement
D. le sont involontairement

159.
D’après le rapport dit Brundtland (1987), le développement durable c’est :
A. un processus d’élargissement de la gamme des choix accessibles à chaque être humain
B. un développement harmonieux et équilibré des activités économiques, une croissance durable et non inflationniste respectant l’environnement
C. un développement qui répond aux besoins du présent en compromettant la capacité des générations futures à satisfaire les leurs
D. un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs

160.
L’Agenda 21 est :
A. le nom donné à l’agenda de Kofi Anan, le 21e secrétaire général de l’ONU
B. l ’Agenda pour le XXIe s. élaboré au Sommet de la Terre de Rio en 1992
C. L’Agenda signé par 21 chefs d ’Etat, lors de la Conférence de Gênes en 2002
D. le nom donné au pacte en faveur du développement durable signé en 2000 entre l’ONU et 50 firmes multinationales

Réponses
1 Dans la fonction de consommation keynésienne (C) suivante, à quoi correspond « c » ?
C = cY + C0
A. à la propension moyenne à consommer
B. à la propension marginale à consommer
C. à la consommation incompressible
D. au revenu

2 D’après Keynes, lorsque le revenu d’un agent économique croit :

A. la consommation croit, mais non d’une quantité aussi grande que l’accroissement du revenu
B. la consommation croit d’une quantité comparable à l’accroissement du revenu
C. la consommation croit d’une quantité plus grande que l’accroissement du revenu
D. la consommation reste constante

3 En étudiant statistiquement les comportements de consommation des ménages américains de 1869 à 1938, l’économiste américain Simon Kuznets montre qu’à long terme :

A. toute augmentation du revenu se traduit par une diminution équivalente de la propension moyenne à consommer
B. toute augmentation du revenu se traduit par une diminution plus que proportionnelle de la propension moyenne à consommer
C. toute augmentation du revenu se traduit par une augmentation équivalente de la consommation
D. toute augmentation du revenu se traduit par une diminution équivalente de la propension moyenne à épargner

4 L’effet cliquet (ou effet crémaillère) décrit par Thomas Brown en 1952 indique que :

A. le niveau de consommation des ménages dépend à court terme de celui de leurs groupes de référence
B. le niveau de consommation des ménages dépend de celui des ménages de la catégorie sociale supérieure
C. le niveau de consommation des ménages dépend à court terme du revenu courant et des revenus futurs anticipés
D. le niveau de consommation des ménages dépend à court terme du revenu courant et des revenus perçus dans le passé

5 Dans la théorie du cycle de vie :

A. les individus connaissent a priori leur durée de vie et leurs revenus futurs
B. les individus ne connaissent pas a priori leur durée de vie et leurs revenus futurs
C. les individus épargnent dès leur jeunesse
D. les individus sont immortels

6 L’AER signifie :

A. l’allocation pour l’enseignement et la recherche
B. l’allocation pour l’entreprenariat régional
C. L’allocation pour l’emploi et la reconversion
D. l’allocation équivalent retraite

7 Dans la formule de calcul de la pension retraite PR = SM . T . (D/160) :

A. SM correspond au salaire moyen, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de semestres
B. SM correspond au salaire moyen, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de trimestres
C. SM correspond au salaire marginal, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de semestres
D. SM correspond au salaire marginal, T au taux de liquidation, D à la durée de cotisation au régime de base et 160 au nombre de trimestres

Patrick Devedjian fait le point sur le plan de relance en conseil des ministres,
8 avril 2009, New Press (voir le texte plus haut).

8 En économie fermée, quel est le multiplicateur keynésien le moins efficace en terme de croissance du PIB ?

A. le multiplicateur d’exportation
B. le multiplicateur d’investissement
C. le multiplicateur des dépenses publiques
D. le multiplicateur fiscal

9 Dans le cadre théorique du multiplicateur fiscal en économie fermée, considérant que les investissements et la consommation devraient rester constants en 2009 et sachant que la propension marginale française s’établira à 0,76 cette année, quelle devrait être la variation du PIB français en 2009 ? (La variation des impôts est donnée dans le texte).

A. le PIB français devrait décroître de l’ordre de 31,67 milliards d’euros
B. le PIB français devrait décroître de l’ordre de 41,67 milliards d’euros
B. le PIB français devrait augmenter de l’ordre de 41,67 milliards d’euros
D. le PIB français devrait augmenter de 31,67 milliards d’euros

10 Le RSA mentionné dans le texte :

A. est entré en vigueur le 1er juin 2007
B. est entré en vigueur le 1er juin 2008
C. va entrer en vigueur le 1er juin 2009
D. va entrer en vigueur le 1er juin 2010

11 Les stabilisateurs automatiques dont il est question dans le texte :

A. consistent à augmenter le taux d’imposition
B. permettent une augmentation des exportations
C. permettent un retour progressif à l’équilibre budgétaire
D. entraînent un déficit budgétaire important


12 La « courbe de Laffer » indique :

A. que plus le taux d’imposition croît, plus les recettes fiscales augmentent
B. que plus le taux d’imposition décroît, plus des recettes fiscales diminuent
C. qu’il existe un taux d’imposition optimal au-delà duquel les recettes fiscales diminuent
D. que plus le taux d’imposition décroît, plus le PIB augmente

13 Selon Karl Marx, qu’est-ce qui influence la consommation des ménages ?

A. l’appartenance à un groupe de référence
B. l’âge
C. le sexe
D. l’appartenance à une classe sociale

14 La théorie de l’ « homo œconomicus » fait référence ?

A. à un agent économique altruiste
B. à l’homo erectus
C. à un agent économique mû par une rationalité imparfaite
D. à un agent économique mû par une rationalité pure et parfaite

15 Que peut-on dire de l’élasticité-prix de la demande (Ep/d) pour le bien dont la courbe de demande est représentée ci-dessous ?

A. Ep/d tend vers + ∞
B. Ep/d = 0
C. Ep/d tend vers + ∞
D. On ne peut rien dire

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16 L’« effet Veblen » désigne une élasticité-prix de la demande de biens :

A. égale à zéro
B. négative
C. positive
D. instable

17 L’élasticité-prix de la demande de biens de luxe a été étudiée par :

A. Veblen
B. Giffen
C. Hansen
D. Keynes

18 L’élasticité-prix de la demande des biens dits « substituables » :

A. varie entre ] 0 ; + ∞ [
B. est égale à zéro
C. varie entre ] – ∞ ; 0 [
D. n’existe pas


19 L’élasticité-revenu de la demande des biens dits « supérieurs » (bien culturels par exemple) :

A. varie entre ] 1 ; + ∞ [
B. varie entre [ 0 ; 1 ]
C. varie entre ] – ∞ ; 0 [
D. n’existe pas

20 Selon la théorie de la « filière inversée » proposée par John K. Galbraith :

A. les consommateurs ont des besoins que les entreprises cherchent à satisfaire
B. les entreprises créent des besoins chez les consommateurs afin d’écouler leurs produits
C. les firmes multinationales doivent adopter une stratégie globale
D. le « patriotisme économique » doit être généralisé dans toute la sphère de production

Données macroéconomiques pour la France en 2005 et 2006 (milliards d’euros)


2006

2007
PIB
1792
1892
Dépenses de consommation finale
1440
1359
Source : Insee

21 A partir du tableau ci-dessus, on peut affirmer que :

A. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,19
B. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,28
C. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,80
D. En 2006, la propension moyenne à épargner vaut 0,32

22 A partir du tableau ci-dessus, on peut affirmer que :

A. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 0,19
B. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 0,81
C. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 1,81
D. En 2007, la propension marginale à épargner vaut 0,10

23 A partir du tableau ci-dessus, on peut affirmer que :

A. En 2007, les dépenses de consommation finale ont augmenté de 5,625 %
B. En 2007, les dépenses de consommation finale ont baissé de 5,625 %
C. En 2007, les dépenses de consommation finale ont augmenté de 5,96 %
D. En 2007, les dépenses de consommation finale ont baissé de 5,96 %

24 Quels sont les trois motifs qui poussent les agents économiques à épargner selon Keynes ?

A. motif de transaction, motif de précaution, motif de spoliation
B. motif de précaution, motif de rétention, motif de spéculation
C. motif de spéculation, motif de transaction, motif de précaution
D. motif de filiation, motif de précaution, motif de standardisation

25 Le taux d’épargne des ménages correspond :

A. à la partie du revenu qui permet de financer les investissements en logement
B. au rapport entre l’épargne brute et le revenu disponible brut
C. au rapport entre la FBCF des ménages et le revenu disponible brut
D. au taux de liquidation de la pension de retraite divisé par 160

26 Les quatre objectifs prioritaires de politique économique retenu dans le « carré magique » de Kaldor sont :

A. un taux d’inflation fort, un taux de croissance fort, un taux de chômage faible, un solde positif de la balance des transactions
B. un taux d’inflation faible, un taux de croissance faible, un taux de chômage fort, un solde de la balance des transactions
C. un taux d’inflation faible, un taux de croissance fort, un taux de chômage faible, un solde négatif de la balance des transactions
D. un taux d’inflation faible, un taux de croissance fort, un taux de chômage faible, un solde positif de la balance des transactions

27 La théorie quantativiste de la monnaie montre que :

A. plus la masse monétaire augmente, plus le niveau général des prix augmente
B. plus la masse monétaire diminue, plus la vitesse de circulation de la monnaie augmente
C. plus le nombre de transactions augmente, plus la masse monétaire diminue
D. plus le niveau général des prix augmente, plus la vitesse de circulation de la monnaie augmente

28 Cochez l’élément qui n’est pas de la monnaie :

A. les billets et pièces
B. les dépôts sur compte courant
C. les actions
D. les titres d’OPCVM

29 Ne sont pas monnaies dans l’agrégat M1 :

A. les pièces
B. les chèques
C. les livrets A
D. les titres interbancaires de paiements

30 La création monétaire appelée « ex nihilo » désigne :

A. les billets et pièces émis par la banque centrale
B. les chèques émis par les clients des banques
C. la monnaie créée grâce aux crédits accordés par les banques commerciales
D. la monnaie issue des activités illicites

31 Concernant l’activité bancaire, quelle est la bonne proposition ?

A. les dons font les dépôts et les crédits
B. les crédits font emprunts
C. les dépôts font les crédits
D. les crédits font les dépôts

32 En matière de politique monétaire, la facilité de dépôt de 24h :

A. correspond à la vente de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
B. correspond à l’achat de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
C. permet de couvrir les insuffisances de liquidités des banques
D. permet d’absorber les liquidités excédentaires des banques

33 Quelle hypothèse n’est pas une hypothèse du modèle ISLM (Hicks/Hansen) ?

A. il n’y a pas d’inflation à court terme
B. le taux d’intérêt est fixe
C. il y a sous-emploi des capacités productives
D. on raisonne en économie fermée
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34 Que peut-on déduire du graphique ci-dessus ?

A. les agents économiques sont peu sensibles aux variations du taux d’intérêt
B. les agents économiques sont très sensibles aux variations du taux d’intérêt
C. l’investissement est peu sensible aux variations du taux d’intérêt
D. Aucune des réponses précédentes

35 Que se passe-il lorsque l’offre de monnaie augmente ?

A. le taux d’intérêt (r) augmente
B. la demande de monnaie pour motif de spéculation (L2(r)) diminue
C. l’équilibre LM se déplace vers la droite
D. l’équilibre LM se déplace vers la gauche

36 En matière de chômage, l’INSEE utilise la notion de :

A. « population sans emploi à la recherche d’un emploi »
B. « demandeur d’emploi en fin de mois »
C. « personne inactive à la recherche d’un emploi »
D. « personne active inemployée ne recherchant pas d’emploi »

37 Parmi les quatre profils décrits ci-dessous quel est celui qui présente le plus de risque d’être au chômage ?

A. Julie, 22 ans, sans diplôme, résidant à Villeneuve-sur-Lot (47)
B. Sébastien, 24 ans, sans diplôme, résidant à Aniane (34)
C. Karima, 34 ans, diplômée d’un master de Tigrinya aux Langues’ O et résidant à Créteil (94)
D. Aawiya, 23 ans, sans diplôme, résidant à Paris (75)

38 L’approche keynésienne du chômage considère que les actifs inemployés :

A. n’existent pas
B. sont des fainéants
C. le sont volontairement
D. le sont involontairement

39 D’après le rapport dit Brundtland (1987), le développement durable c’est :

A. un processus d’élargissement de la gamme des choix accessibles à chaque être humain
B. un développement harmonieux et équilibré des activités économiques, une croissance durable et non inflationniste respectant l’environnement
C. un développement qui répond aux besoins du présent en compromettant la capacité des générations futures à satisfaire les leurs
D. un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs

40 L’Agenda 21 est :

A. le nom donné à l’agenda de Kofi Anan, le 21e secrétaire général de l’ONU
B. l ’Agenda pour le XXIe s. élaboré au Sommet de la Terre de Rio en 1992
C. L’Agenda signé par 21 chefs d ’Etat, lors de la Conférence de Gênes en 2002
D. le nom donné au pacte en faveur du développement durable signé en 2000 entre l’ONU et 50 firmes multinationales

Bonnes vacances à tous !

Bibliographie pour poursuivre :
Sloman J., Principes d’économie, 6e édition, Pearson, Paris, 2008 (40 €)


HEI2B01 : MACROECONOMIE
Examen final du 14 mai 2008 (1 heure)
Machine à calculer autorisée & Aucun document autorisé
Enseignement de Monsieur Assen SLIM

161. Le produit intérieur brut (PIB) est égal à ?
A. la somme des valeurs ajoutées brutes + la TVA + les droits de douanes
B. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation + les impôts liés à la production et à l’importation
C. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation - les impôts liés à la production et à l’importation
D. la consommation + l’investissement + la variation de stocks + les dépenses publiques + les exportations

162.
Le taux d’ouverture aux exportations d’une économie correspond au ratio suivant :
A. exportations / PIB
B. PIB / exportations
C. exportations / importations
D. (exportations + importations) / (2 . PIB)

163.
En France, les comptable nationaux regroupent dans la catégorie « Sociétés non financières » (SNF) :
A. les banques
B. les administrations publiques
C. les institutions sans but lucratif
D. les entreprises qui produisent des biens et des services marchands

164.
En comptabilité nationale française, les frigidaires sont considérés comme :
A. des biens non durables
B. des biens semi-durables
D. des biens durables
D. des biens éternels

165.
Parmi les économistes de l’école classique, lequel a formulé la « loi des débouchés » :
A. Jean-Baptiste Say
B. Adam Smith
C. David Ricardo
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D. John Stuart Mill

166.
La théorie de la « main invisible » développée par Adam Smith montre que :
A. les pays se spécialisent dans l’exportation des biens pour lesquels ils ont des avantages absolus
B. la recherche de l’intérêt individuel est favorable à l’intérêt général de la société
C. la monnaie est un voile lancée sur l’économie
D. toute offre créé sa propre demande

167.
Le taux de marge se définit de la manière suivante :
A. (épargne + transferts nets) / (formation brute de capital fixe + stock)
B. excédents bruts d’exploitation / Valeur ajoutée
C. formation brute de capital fixe / Valeur ajoutée
D. capacité de financement / revenu disponible

168.
Le progrès technique provient principalement de :
A. la recherche
B. l’imitation
C. l’espionnage industriel
D. la réalisation d’économie d’échelle

Véronique TISON, « Woerth table sur un déficit de 2 % du PIB en 2009 en France », Reuters, 9 avril 2008.


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PARIS, 9 avril (Reuters) - Le ministre du Budget Eric Woerth a déclaré mercredi tabler sur un déficit public réduit à 2% du produit intérieur brut en 2009, en tenant compte des économies déjà annoncées par le gouvernement et celles à venir. "Si nous parvenons à faire ces efforts, nous atteindrons alors un déficit public de deux points du PIB en 2009", a-t-il déclaré devant la Commission des Finances de l'Assemblée nationale. "Nous améliorerons ainsi notre déficit de 0,5 point de PIB, ce qui est conforme à nos engagements vis-à-vis de nos partenaires européens", a-t-il ajouté. "C'est aussi ce qui me paraît le juste équilibre entre ce qui est souhaitable - rééquilibrer au plus vite les comptes - et ce qui est possible sans en venir à des coupes sombres ou porter atteinte à la croissance". Le déficit public de la France a atteint 2,7% du PIB en 2007, un chiffre supérieur aux 2,4% prévus, et le gouvernement a revu son objectif pour cette année à 2,5% au lieu de 2,3%.

Devant la Commission, Eric Woerth a réaffirmé que la France devait dégager environ dix milliards d'euros d'économies par an. L'Etat, a-t-il rappelé, a annoncé vendredi dernier sept milliards d'euros d'économies à l'horizon 2011, auxquelles devrait s'ajouter un montant équivalent décidé d'ici l'été prochain, "pour arriver à un total de 13 à 15 milliards d'euros".
Il a souhaité parallèlement "identifier rapidement cinq milliards d'euros d'économies" dans le champ de la sécurité sociale, notamment sur l'assurance maladie.
"Les autres acteurs devront également faire leur part d'effort. L'amélioration du marché de l'emploi aidera notamment à réduire les dépenses de prestations chômage. Quant aux collectivités locales, selon toute vraisemblance, elles n'en resteront pas à un niveau de déficit aussi inhabituel et elles devraient elles aussi rétablir progressivement leurs comptes", a indiqué le ministre selon le texte de son discours.
"Notre stratégie est très claire : poursuivre l'assainissement structurel de nos finances publiques, fondée sur les réformes porteuses de croissance et une maîtrise sans faille des dépenses publiques", a-t-il assuré en soulignant qu'il n'y a "pas de plan de rigueur".

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169.
Comment qualifieriez-vous la politique macroéconomique annoncée par le ministre français du Budget ?
A. plan de relance
B. plan de rigueur
C. plan d’ouverture
D. plan de couverture

170.
En Europe, quel est le déficit budgétaire (en % du PIB) maximal autorisé par le Traité de Maastricht (et repris dans le Pacte de stabilité) ?
A. 0,5 %
B. 3 %
C. 60 %
D. pas plus de 0,5 point de PIB par rapport à la moyenne des trois meilleurs pays en la matière

171.
A quoi sert la protection sociale en France ?
A. à rien
B. à corriger les écarts de revenus, à reporter certaines ressources dans le temps, à prendre en charge collectivement certains risques individuels, à mettre à la disposition de tous des biens et services publics
C. à corriger des écarts d’épargne, à reporter certaines ressources dans le temps, à prendre en charge individuellement certains risques collectifs, à mettre à disposition de tous des biens et services privés
D. à donner de l’argent à des fainéants toujours malades.

172.
Les cinq régimes de la sécurité sociale française sont :
A. les régimes de l’UNEDIC, de l’URSSAF, de l’assurance maladie, des allocations familiales et de l’assurance vieillesse
B. les régimes diététiques, végétariens, hypoallergéniques, amaigrissants et relaxants.
C. les régimes spécifiques, industriels, général, non salariés et de chômage
D. les régimes spéciaux, agricoles, général, non salariés et de chômage

173.
Quelle est la plus importante source de financement de la sécurité sociale française ?
A. les impôts et taxes
B. les contributions publiques
C. les cotisations
D. les autres recettes (placements financiers principalement)

174.
Le gouvernement français s’apprête à faire des économies dans le domaine de l’assurance maladie. Parmi les dépenses de santé quelles sont celles qui ont le plus augmenté ces vingt dernières années en France ?
A. médicaments
B. soins ambulatoires
C. hôpital
D. consommation de soins et de biens médicaux

175.
Dans le monde, quel pays a les dépenses de santé par habitant les plus élevées ?
A. la France
B. la Norvège
C. la Suisse
D. les Etats-Unis

176.
Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques sans impôts en économie fermée, quelle devrait être la variation du PIB d’ici à 2011, sachant que la propension marginale à consommer française se situe à 0,73 et que l’investissement restera constant ? (La variation des dépenses publiques à l’horizon 2011 est donnée dans le texte).
A. le PIB français devrait décroître de l’ordre de – 48,15 à – 55,55 milliards d’euros
B. le PIB français devrait décroitre de l’ordre de – 26 à – 30 milliards d’euros
C. le PIB français devrait rester constant
D. le PIB français devrait augmenter de + 48,15 à + 55,55 milliards d’euros

177.
Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques avec impôts en économie ouverte, quelle devrait être la variation du PIB français d’ici à 2011, sachant que les propensions marginales à consommer et à importer sont respectivement de 0,73 et 0,69, que le taux d’imposition moyen est de 25 % (t = 0,25) tandis que l’investissement et les exportations resteront constants ? (La variation des dépenses publiques à l’horizon 2011 est donnée dans le texte).
A. le PIB français devrait décroitre de l’ordre de – 9,88 à – 11,31 milliards d’euros
B. le PIB français devrait décroître de l’ordre de – 11,38 à – 13,13 milliards d’euros
C. le PIB français devrait rester constant
D. le PIB français devrait augmenter de +11,38 à + 13,13 milliards d’euros

178.
Dans une optique keynésienne, les stabilisateurs automatiques :
A. consistent à augmenter le taux d’imposition
B. permettent une augmentation des exportations
C. permettent un retour à l’équilibre budgétaire
D. entraînent un déficit budgétaire important

179.
Le « monopsone » correspond à la structure de marché suivante :
A. un seul acheteur confronté à un seul offreur
B. un petit nombre d’offreurs confrontés à un petit nombre d’acheteurs
C. un seul acheteur confronté à un grand nombre d’offreurs
D. un seul offreur confronté à un grand nombre d’acheteurs

180.
Sur le marché financier, une « OPE » correspond à :
A. une annonce effectuée par une société ou des personnes physiques aux actionnaires d'une autre société, leur indiquant leur intention d'acquérir les titres de la société cible à un prix donné
B. une annonce effectuée par une société ou des personnes physiques aux actionnaires d’une autre société, leur indiquant leur intention d’acquérir les titres de la société cible contre d’autres titres
C. une fusion entre deux sociétés dans laquelle la société absorbante subsiste, la société absorbée étant dissoute
D. une opération par laquelle une ou plusieurs sociétés se réunissent pour n’en former plus qu’une seule

181.
La nouvelle stratégie d’internationalisation des firmes décrite par John Dunning et Wladimir Andreff s’appelle :
A. stratégie « primaire »
B. stratégie de « rationalisation de la production »
C. stratégie « globale »
D. stratégie d’acquisition d’actifs

182.
Lequel de ces revenus n’est pas un « revenu de la propriété » :
A. salaire
B. loyer
C. dividende
D. intérêt

183.
En France, le « salaire minimum » est appelé :
A. SMIC
B. SMIG
C. SMAC
D. TAG

184.
Trouver l’intrus. En France, le salaire minimum varie grâce :
A. à l’indexation automatique sur le niveau des prix
B. à l’indexation automatique sur la hausse du taux de salaire horaire moyen ouvrier
C. à l’indexation automatique sur la hausse du taux d’investissement
D. aux « coups de pouce » accordés par le gouvernement

185.
D’après l’INSEE, quelles sont les professions dont les salaires sont les moins élevés en France :
A. techniciens, ouvriers, secrétaires
B. médecins, ingénieurs, enseignants
C. employés de maison, employés et agents de maîtrise de l’hôtellerie, assistantes maternelles
D. militaires, policiers, coiffeurs

186.
En matière d’indemnisation chômage en France, combien de temps faut-il avoir travaillé pour avoir le droit de recevoir l’Aide au Retour à l’Emploi ?
A. 3 mois
B. 6 mois
C. 12 mois
D. 24 mois

187.
Actuellement en France, la pension de retraite se calcule de la manière suivante :
A. (salaire moyen) x (taux de liquidation) x (durée de cotisation / nombre de trimestres requis)
B. (salaire médian) x (taux de liquidation) x (durée de cotisation / nombre de trimestres requis)
C. (salaire moyen) x (taux d’épargne) x (durée de cotisation / nombre de trimestres requis)
D. (salaire moyen) x (taux de liquidation) x (durée de cotisation / nombre d’emplois occupés)

Répartition de la population totale par groupes d’âge (1997 et 2007)

Année
Total
moins de 20 ans
60 ans ou plus
1997
59 726 386
15 638 661
12 008 204
2007
63 392 140
15 836 109
13 365 792
Champ : France entière (France métropolitaine + DOM)
Source : Insee Insee - Population - Bilan dmographique 2010, consultation du 01/05/2008.


188.
En 2007, le ratio de dépendance vieillesse est égal à :
A. 77 %
B. 39 %
C. 28 %
D. 21 %

189.
Entre 1997 et 2007, le nombre de personnes âgées de 20 à 59 ans :
A. a augmenté
B. est resté constant
C. a diminué
D. le tableau ne permet pas de répondre à cette question

190.
Entre 1997 et 2007, la part (en % du total) des moins de 20 ans :
A. a augmenté
B. est restée constante
C. a diminué
D. le tableau ne permet pas de répondre à cette question

191.
Dans le cadre du calcul du quotient familial, de combien de parts dispose un couple marié ayant deux enfants de moins de 18 ans ?
A. 2 parts
B. 3 parts
C. 4 parts
D. 5 parts

192.
Le RMI a été créé en
A. 1908
B. 1948
C. 1988
D. 2088

193.
Selon Karl Marx, les attitudes de consommation des individus dépendent :
A. de leur revenu courant
B. de leur revenu permanent
C. de leur appartenance à un groupe donné
D. de leur appartenance à une classe sociale donnée

194.
Le sociologue Thorstein Veblen est le premier à avoir montré que l’élasticité-prix de la demande des biens de luxe est :
A. positive
B. égale à zéro
C. négative
D. instable

195.
La théorie de la « filière inversée » développée par John K. Galbraith montre que :
A. le consommateur est le « roi » du marché
B. le consommateur n’est pas le « roi » du marché
C. les firmes ont intérêt à se concentrer de manière conglomérale
D. le « patriotisme économique » est un concept dépassé

196.
D’après John M. Keynes, la propension moyenne à consommer :
A. augmente lorsque le revenu augmente
B. reste constante lorsque le revenu augmente
C. décroît lorsque le revenu augmente
D. est toujours égale à 1

197.
Dans la fonction de consommation keynésienne suivante, à quoi correspond « C0 » ?
C = cY + C0
A. à la propension moyenne à consommer
B. à la propension marginale à consommer
C. à la consommation incompressible
D. au revenu

198.
Simon Kuznets montre qu’à long terme, la propension moyenne à consommer est :
A. croissante
B. constante
C. décroissante
D. égale à 1

199.
Trouvez la fausse réponse. Dans le modèle IS-LM
A. il y a de l’inflation à court terme
B. il n’y a pas d’inflation à court terme
C. il y par hypothèse du chômage
D. il y a par hypothèse sous-emploi des capacités de production
200. En matière de politique monétaire, les « réserves obligatoires » sont :
A. des prêts marginaux à 24h de la banque centrale aux banques commerciales
B. des dépôts obligatoires faiblement rémunérés constitués par les banques commerciales auprès de la banque centrale de leur pays
C. des titres (en général des bons du Trésor) achetés par la banque centrale sur le marché monétaire
D. des réserves de change détenues par la banque centrale
 
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