FaKiR
Meþveret Bþk.
nstitut National des Langues et Civilisations Orientales
Barème :
Une seule bonne réponse par question
+ 4 points par bonne réponse
0 point en cas d’absence de réponse
– 1 point par mauvaise réponse
[FONT="]
[/FONT]
Les comptes de la Nations en 2008 : un fort ralentissement de l’activité.
[FONT="]
[/FONT] [FONT="]En 2008, le produit intérieur brut progresse de 0,4 % en moyenne annuelle, après + 2,3 % en 2007 et + 2,2 % en 2006. Corrigée du nombre de jours ouvrables, la croissance est minorée de 0,1 point, à + 0,3[/FONT].
[FONT="]L'activité recule à compter du printemps et ce recul s'accentue à l'automne. La faiblesse de l'activité est principalement due à la forte décélération de la demande intérieure : la consommation ralentit et l'investissement marque le pas; la croissance est aussi pénalisée par un mouvement de déstockage, particulièrement prononcé en fin d'année. Les échanges extérieurs sont également affectés : les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore[/FONT].
[FONT="]Le pouvoir d'achat des ménages ralentit fortement et leur taux d'épargne se replie un peu. Le taux de marge des sociétés non financières baisse. L'activité des sociétés financières stagne (INSEE)[/FONT].
[FONT="][/FONT]
Partage du PIB à prix courants en milliards d’euros et population en milliers d’habitants (en 2008)
Produit intérieur brut
Dépense de consommation finale
dont dépenses publiques
Formation brute de capital fixe
Exportations de biens et services
Importations de biens et services
Variation de stocks
Population
Moins de 20 ans
De 20 à 59 ans
60 ans ou plus
dont 75 ans ou plus
Source : INSEE
1. Le produit intérieur brut (PIB) est égal à ?
A. la consommation + l’investissement + la variation de stocks + les dépenses publiques + les exportations
B. la somme des valeurs ajoutées brutes des entreprises nationales et étrangères présentes en France + la TVA + les droits de douanes
C. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation + les impôts liés à la production et à l’importation
D. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation - les impôts liés à la production et à l’importation
2. En 2008, le PIB français par habitant était de :
A. 30304 euros
B. 29565 euros
C. 1950,1 euros
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
3. En 2008, le ratio de dépendance vieillesse de la France était égal à :
A. 45,9 %
B. 41,2 %
C. 28,2 %
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
4. Les « Sociétés non financières » (SNF) évoquées dans le texte sont :
A. les banques
B. les entreprises qui produisent des biens et des services marchands
C. les administrations publiques
D. les associations sans but lucratif
5. L’expression « l’activité des sociétés financières stagne » laisse entendre que :
A. les taux d’intérêt augmentent
B. la valeur ajoutée des sociétés financières n’augmente pas
C. la consommation des ménages recule
D. la somme des rémunérations des salariés augmente
6. Pour un pays donné, lorsque « les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore », quelle sera l’évolution la plus plausible :
A. le taux d’ouverture s’améliore
B. le taux de couverture se dégrade
C. le taux de couverture s’améliore
D. le taux de couverture se dégrade
7. Le « pouvoir d’achet des ménages » évoqué dans le texte correspond :
A. au salaire nominal
B. au salaire anticipé
C. au salaire réel
D. au salaire permanent
8. Le « taux d’épargne » mentionné dans le texte correspond en macroéconomie :
A. à l’épargne + les transferts nets, le tout divisé par la formation brute de capital fixe + les stocks
B. à l’excédent brut d’exploitation divisé par la valeur ajoutée brute
C. à la propension moyenne à épargner
D. à la propension marginale à épargner
9.
Parmi les motifs suivants, lequel n’est pas un motif keynésien de constitution d’une épargne ?
A. motif de transaction
B. motif de filiation
C. motif de précaution
D. motif de spéculation
10. A partir du tableau, on peut affirmer que :
A. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,28
B. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,56
C. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,72
D. on ne peut rien dire car il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
11. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques sans impôts en économie fermée, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que la propension marginale à consommer française se situe à 0,73, que la FBCF est restée constante en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards d’euros en 2009 (par rapport à 2008) ? (la valeur du PIB de 2008 est donnée dans le tableau)
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1894,5 milliards d’euros
B. le PIB français devrait rester constant
C. le PIB français de 2009 vaudrait alors 2005,7 milliards d’euros
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
12. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques avec impôts en économie ouverte, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que les propensions marginales à consommer et à importer sont respectivement de 0,73 et 0,69, que le taux d’imposition moyen est de 25 % (t = 0,25), que la FBCF et les exportations sont restées constantes en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards en 2009 (par rapport à 2008) ?
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1963,2 milliards d’euros
B. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1937 milliards d’euros
C. le PIB français devrait rester constant
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
13. Dans une optique keynésienne, les stabilisateurs automatiques :
A. consistent à augmenter le taux d’imposition
B. permettent une augmentation des exportations
C. permettent un retour à l’équilibre budgétaire
D. entraînent un déficit budgétaire important
14. D’après John M. Keynes, la propension moyenne à consommer :
A. augmente lorsque le revenu augmente
B. reste constante lorsque le revenu augmente
C. décroît lorsque le revenu augmente
D. est toujours égale à 1
15. Simon Kuznets montre qu’à long terme, la propension moyenne à consommer est :
A. croissante
B. décroissante
C. constante
D. égale à 1
16. Parmi les quatre profils décrits ci-dessous quel est celui qui présente le plus de risque d’être au chômage ?
A. Julien, 23 ans, sans diplôme, résidant à Aniane (34)
B. Nadia, 33 ans, diplômée d’un master de Drehu aux Langues’ O et résidant à Maisons-Alfort (94)
C. Amélie, 23 ans, sans diplôme, résidant à Savignac-sur-Leyze (47)
D. Zuwena, 23 ans, sans diplôme, résidant à Paris (75)
17. Le taux de « pauvreté monétaire absolue » correspond :
A. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moyenne de la distribution des revenus
B. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moitié de la médiane de la distribution des revenus
C. à la part de la population vivant avec moins de 1,25 $ par jour
D. à la somme des racines carrées des écarts de revenus, le tout divisé par la moyenne de la distribution des revenus
18. Parmi les objectifs ci-dessous, quel est celui qui n’est pas un objectif de la protection sociale en France ?
A. Corriger les écarts de revenus
B. Reporter certaines ressources dans le temps
C. mettre des biens et services privés à la disposition de tous
D. prendre en charge les risques
19. Quelle est la plus importante source de financement de la sécurité sociale française ?
A. les impôts et taxes
B. les cotisations
C. les contributions publiques
D. les autres recettes (placements financiers principalement)
20. Les trois caisses du régime général de la sécurité sociale française sont :
A. employeurs, salariés, travailleurs indépendants
B. agricole, non salariés, chômeurs.
C. assurance maladie, allocations familiales, assurance-vieillesse
D. URSSAF, UNEDIC, CNAV
21. En matière de chômage, quelle est la durée maximale de perception de l’ARE :
A. 36 mois
B. 23 mois.
C. 11 mois
D. 4 mois
22. La PRE est versée :
A. aux demandeurs d’emploi qui arrivent au terme de leur droit de l’ARE
B. aux chômeurs qui viennent de retrouver un emploi salarié.
C. aux bénéficiaires du RSA qui viennent de retrouver un emploi salarié
D. aux personnes n’ayant pas encore 60 ans mais totalisant déjà 160 trimestres de cotisations
23. L’AER signifie :
A. allocation épargne retraite
B. aide à l’emploi retrouvé
C. allocation équivalent retraite
D. allocation épargne rémunérée
24. Trouvez l’erreur. Le financement des retraites par capitalisation :
A. permet à chaque actif de financer individuellement sa retraite
B. est basé sur la constitution d’un capital tout au long de la durée d’activité des individus
C. renforce la solidarité intergénérationnelle
D. constitue une bonne solution pour contourner un droit successoral
25. Le quotient familial se calcul de la manière suivante :
A. Revenu brut / nombre de part
B. Revenu net fiscal / nombre de parts
C. (Revenu brut – (Revenu brut x 0,10)) / nombre de parts
D. (Revenu net fiscal – (Revenu net fiscal x 0,10)) / nombre de parts
26. Les allocations familiales sont versées par la Caisse d’Allocations familiales (CAF) à partir :
A. du premier enfant
B. du deuxième enfant
C. du troisième enfant
D. du quatrième enfant
27. En France :
A. le RSA a remplacé le RMI en 1970
B. le RSA a remplacé le SMIG en 1970
C. le RSA a remplacé le RMI en 2009
D. le RSA a remplacé le SMIC en 2009
28. Le mouvement en faveur de la décroissance :
A. reconnaît que les économistes ont toujours raison
B. soutient le développement durable
C. admet qu’il pourrait y avoir, au moins dans un premier temps, une croissance du PIB dans une société de décroissance
D. prône l’augmentation de la consommation
29. Quel est le taux optimal d’imposition des activités économiques selon les libéraux ?
A. 30 %
B. 45 %
C. 75 %
D. 80 à 90 %
30. La culture, au sens sociologique du terme, est :
A. le développement méthodique du corps par des exercices appropriés et gradués
B. la méthode consistant à faire croître des micro-organismes en milieu approprié
C. l’ensemble des valeurs, des normes et comportements qui sont partagés par les membres d’une société
D. l’ensemble des opérations propres à tirer du sol les végétaux utiles à l’homme et aux animaux domestiques
31. L’élasticité-revenu de la demande des biens dits « supérieurs » (bien culturels par exemple) :
A. varie entre ] – [FONT="]∞ ; 0 [/FONT][
B. varie entre [ 0 ; 1 ]
C. varie entre ] 1 ; + [FONT="]∞ [/FONT][
D. n’existe pas
32. Lorsque l’élasticité-prix croisée de la demande d’un bien (i) par rapport à un autre (k) est inférieure à zéro (Epi/dk < 0), alors on peut dire que :
A. les biens i et k sont indépendants
B. les biens i et k sont substituables
C. les biens i et k sont complémentaires
D. les biens i et k sont normaux
33. Quel est le premier économiste à avoir soutenu que le consommateur n’était pas le roi du marché et que les entreprises, par la standardisation et le marketing, sont en situation de créer les besoins de leurs clients afin d’écouler leurs produits ?
A. J. K. Galbraith
B. P. A. Samuleson
C. H. Ford
D. R. Auckenthaler
34. Parmi les objectifs suivants, lequel ne constitue pas un objectif prioritaire retenu dans le « carré magique » de Kaldor ?
A. taux de chômage faible
B. solde de la balance des transactions courantes positif
C. taux d’inflation fort
D. taux de croissance fort
35. Dans le cadre de l’économie monétaire :
A. ce sont les facilités permanentes qui font les réserves obligatoires
B. ce sont les réserves obligatoires qui font les facilités permanentes
C. ce sont les dépôts font les crédits
D. ce sont les crédits font les dépôts
36. Les opérations d’open-market sont :
A. des achats et de ventes fermes ou temporaires de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
B. réalisées par les banques commerciales qui constituent des dépôts faiblement rémunérés auprès de la banque centrale
C. des facilités de prêt marginal à 24 heures permettant de couvrir les insuffisances de liquidités
D. des facilités de dépôt marginal à 24 heures permettant d’absorber les liquidités excédentaires
37. Quelle hypothèse n’est pas une hypothèse du modèle ISLM (Hicks/Hansen) ?
A. il n’y a pas d’inflation à court terme
B. le taux d’intérêt est fixe
C. il y a sous-emploi des capacités productives
D. on raisonne en économie fermée
[FONT="]
[/FONT]
38. Que peut-on déduire du graphique ci-dessus ?
A. les agents économiques sont très sensibles aux variations du taux d’intérêt
B. les agents économiques sont peu sensibles aux variations du taux d’intérêt
C. l’investissement est peu sensible aux variations du taux d’intérêt
D. Aucune des réponses précédentes
39. Au sens de l’Insee, une personne inactive est :
A. un fainéant
B. ne personne n’ayant pas d’emploi et n’en cherchant pas
C. une personne n’ayant pas d’emploi et en cherchant un
D. un travailleur pauvre
40. Qui a écrit « les bonnes questions ne se satisfont pas de réponses faciles » :
A. Karl Marx
B. Paul A. Samuelson
C. John M. Keynes
D. Assen Slim
Les comptes de la Nations en 2008 : un fort ralentissement de l’activité.
[FONT="]
[/FONT] [FONT="]En 2008, le produit intérieur brut progresse de 0,4 % en moyenne annuelle, après + 2,3 % en 2007 et + 2,2 % en 2006. Corrigée du nombre de jours ouvrables, la croissance est minorée de 0,1 point, à + 0,3[/FONT].
[FONT="]L'activité recule à compter du printemps et ce recul s'accentue à l'automne. La faiblesse de l'activité est principalement due à la forte décélération de la demande intérieure : la consommation ralentit et l'investissement marque le pas; la croissance est aussi pénalisée par un mouvement de déstockage, particulièrement prononcé en fin d'année. Les échanges extérieurs sont également affectés : les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore[/FONT].
[FONT="]Le pouvoir d'achat des ménages ralentit fortement et leur taux d'épargne se replie un peu. Le taux de marge des sociétés non financières baisse. L'activité des sociétés financières stagne (INSEE)[/FONT].
[FONT="][/FONT]
Partage du PIB à prix courants en milliards d’euros et population en milliers d’habitants (en 2008)
Produit intérieur brut
Dépense de consommation finale
dont dépenses publiques
Formation brute de capital fixe
Exportations de biens et services
Importations de biens et services
Variation de stocks
Population
Moins de 20 ans
De 20 à 59 ans
60 ans ou plus
dont 75 ans ou plus
Source : INSEE
41. Le produit intérieur brut (PIB) est égal à ?
A. la consommation + l’investissement + la variation de stocks + les dépenses publiques + les exportations
B. la somme des valeurs ajoutées brutes des entreprises nationales et étrangères présentes en France + la TVA + les droits de douanes
C. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation + les impôts liés à la production et à l’importation
D. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation - les impôts liés à la production et à l’importation
42. En 2008, le PIB français par habitant était de :
A. 30304 euros
B. 29565 euros
C. 1950,1 euros
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
43. En 2008, le ratio de dépendance vieillesse de la France était égal à :
A. 45,9 %
B. 41,2 %
C. 28,2 %
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
44. Les « Sociétés non financières » (SNF) évoquées dans le texte sont :
A. les banques
B. les entreprises qui produisent des biens et des services marchands
C. les administrations publiques
D. les associations sans but lucratif
45. L’expression « l’activité des sociétés financières stagne » laisse entendre que :
A. les taux d’intérêt augmentent
B. la valeur ajoutée des sociétés financières n’augmente pas
C. la consommation des ménages recule
D. la somme des rémunérations des salariés augmente
46. Pour un pays donné, lorsque « les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore », quelle sera l’évolution la plus plausible :
A. le taux d’ouverture s’améliore
B. le taux de couverture se dégrade
C. le taux de couverture s’améliore
D. le taux de couverture se dégrade
47. Le « pouvoir d’achet des ménages » évoqué dans le texte correspond :
A. au salaire nominal
B. au salaire anticipé
C. au salaire réel
D. au salaire permanent
48. Le « taux d’épargne » mentionné dans le texte correspond en macroéconomie :
A. à l’épargne + les transferts nets, le tout divisé par la formation brute de capital fixe + les stocks
B. à l’excédent brut d’exploitation divisé par la valeur ajoutée brute
C. à la propension moyenne à épargner
D. à la propension marginale à épargner
49.
Parmi les motifs suivants, lequel n’est pas un motif keynésien de constitution d’une épargne ?
A. motif de transaction
B. motif de filiation
C. motif de précaution
D. motif de spéculation
50. A partir du tableau, on peut affirmer que :
A. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,28
B. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,56
C. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,72
D. on ne peut rien dire car il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
51. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques sans impôts en économie fermée, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que la propension marginale à consommer française se situe à 0,73, que la FBCF est restée constante en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards d’euros en 2009 (par rapport à 2008) ? (la valeur du PIB de 2008 est donnée dans le tableau)
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1894,5 milliards d’euros
B. le PIB français devrait rester constant
C. le PIB français de 2009 vaudrait alors 2005,7 milliards d’euros
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
52. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques avec impôts en économie ouverte, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que les propensions marginales à consommer et à importer sont respectivement de 0,73 et 0,69, que le taux d’imposition moyen est de 25 % (t = 0,25), que la FBCF et les exportations sont restées constantes en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards en 2009 (par rapport à 2008) ?
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1963,2 milliards d’euros
B. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1937 milliards d’euros
C. le PIB français devrait rester constant
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
53. Dans une optique keynésienne, les stabilisateurs automatiques :
A. consistent à augmenter le taux d’imposition
B. permettent une augmentation des exportations
C. permettent un retour à l’équilibre budgétaire
D. entraînent un déficit budgétaire important
54. D’après John M. Keynes, la propension moyenne à consommer :
A. augmente lorsque le revenu augmente
B. reste constante lorsque le revenu augmente
C. décroît lorsque le revenu augmente
D. est toujours égale à 1
55. Simon Kuznets montre qu’à long terme, la propension moyenne à consommer est :
A. croissante
B. décroissante
C. constante
D. égale à 1
56. Parmi les quatre profils décrits ci-dessous quel est celui qui présente le plus de risque d’être au chômage ?
A. Julien, 23 ans, sans diplôme, résidant à Aniane (34)
B. Nadia, 33 ans, diplômée d’un master de Drehu aux Langues’ O et résidant à Maisons-Alfort (94)
C. Amélie, 23 ans, sans diplôme, résidant à Savignac-sur-Leyze (47)
D. Zuwena, 23 ans, sans diplôme, résidant à Paris (75)
57. Le taux de « pauvreté monétaire absolue » correspond :
A. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moyenne de la distribution des revenus
B. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moitié de la médiane de la distribution des revenus
C. à la part de la population vivant avec moins de 1,25 $ par jour
D. à la somme des racines carrées des écarts de revenus, le tout divisé par la moyenne de la distribution des revenus
58. Parmi les objectifs ci-dessous, quel est celui qui n’est pas un objectif de la protection sociale en France ?
A. Corriger les écarts de revenus
B. Reporter certaines ressources dans le temps
C. mettre des biens et services privés à la disposition de tous
D. prendre en charge les risques
59. Quelle est la plus importante source de financement de la sécurité sociale française ?
A. les impôts et taxes
B. les cotisations
C. les contributions publiques
D. les autres recettes (placements financiers principalement)
60. Les trois caisses du régime général de la sécurité sociale française sont :
A. employeurs, salariés, travailleurs indépendants
B. agricole, non salariés, chômeurs.
C. assurance maladie, allocations familiales, assurance-vieillesse
D. URSSAF, UNEDIC, CNAV
61. En matière de chômage, quelle est la durée maximale de perception de l’ARE :
A. 36 mois
B. 23 mois.
C. 11 mois
D. 4 mois
62. La PRE est versée :
A. aux demandeurs d’emploi qui arrivent au terme de leur droit de l’ARE
B. aux chômeurs qui viennent de retrouver un emploi salarié.
C. aux bénéficiaires du RSA qui viennent de retrouver un emploi salarié
D. aux personnes n’ayant pas encore 60 ans mais totalisant déjà 160 trimestres de cotisations
63. L’AER signifie :
A. allocation épargne retraite
B. aide à l’emploi retrouvé
C. allocation équivalent retraite
D. allocation épargne rémunérée
64. Trouvez l’erreur. Le financement des retraites par capitalisation :
A. permet à chaque actif de financer individuellement sa retraite
B. est basé sur la constitution d’un capital tout au long de la durée d’activité des individus
C. renforce la solidarité intergénérationnelle
D. constitue une bonne solution pour contourner un droit successoral
65. Le quotient familial se calcul de la manière suivante :
A. Revenu brut / nombre de part
B. Revenu net fiscal / nombre de parts
C. (Revenu brut – (Revenu brut x 0,10)) / nombre de parts
D. (Revenu net fiscal – (Revenu net fiscal x 0,10)) / nombre de parts
66. Les allocations familiales sont versées par la Caisse d’Allocations familiales (CAF) à partir :
A. du premier enfant
B. du deuxième enfant
C. du troisième enfant
D. du quatrième enfant
67. En France :
A. le RSA a remplacé le RMI en 1970
B. le RSA a remplacé le SMIG en 1970
C. le RSA a remplacé le RMI en 2009
D. le RSA a remplacé le SMIC en 2009
68. Le mouvement en faveur de la décroissance :
A. reconnaît que les économistes ont toujours raison
B. soutient le développement durable
C. admet qu’il pourrait y avoir, au moins dans un premier temps, une croissance du PIB dans une société de décroissance
D. prône l’augmentation de la consommation
69. Quel est le taux optimal d’imposition des activités économiques selon les libéraux ?
A. 30 %
B. 45 %
C. 75 %
D. 80 à 90 %
70. La culture, au sens sociologique du terme, est :
A. le développement méthodique du corps par des exercices appropriés et gradués
B. la méthode consistant à faire croître des micro-organismes en milieu approprié
C. l’ensemble des valeurs, des normes et comportements qui sont partagés par les membres d’une société
D. l’ensemble des opérations propres à tirer du sol les végétaux utiles à l’homme et aux animaux domestiques
71. L’élasticité-revenu de la demande des biens dits « supérieurs » (bien culturels par exemple) :
A. varie entre ] – [FONT="]∞ ; 0 [/FONT][
B. varie entre [ 0 ; 1 ]
C. varie entre ] 1 ; + [FONT="]∞ [/FONT][
D. n’existe pas
72. Lorsque l’élasticité-prix croisée de la demande d’un bien (i) par rapport à un autre (k) est inférieure à zéro (Epi/dk < 0), alors on peut dire que :
A. les biens i et k sont indépendants
B. les biens i et k sont substituables
C. les biens i et k sont complémentaires
D. les biens i et k sont normaux
73. Quel est le premier économiste à avoir soutenu que le consommateur n’était pas le roi du marché et que les entreprises, par la standardisation et le marketing, sont en situation de créer les besoins de leurs clients afin d’écouler leurs produits ?
A. J. K. Galbraith
B. P. A. Samuleson
C. H. Ford
D. R. Auckenthaler
74. Parmi les objectifs suivants, lequel ne constitue pas un objectif prioritaire retenu dans le « carré magique » de Kaldor ?
A. taux de chômage faible
B. solde de la balance des transactions courantes positif
C. taux d’inflation fort
D. taux de croissance fort
75. Dans le cadre de l’économie monétaire :
A. ce sont les facilités permanentes qui font les réserves obligatoires
B. ce sont les réserves obligatoires qui font les facilités permanentes
C. ce sont les dépôts font les crédits
D. ce sont les crédits font les dépôts
76. Les opérations d’open-market sont :
A. des achats et de ventes fermes ou temporaires de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
B. réalisées par les banques commerciales qui constituent des dépôts faiblement rémunérés auprès de la banque centrale
C. des facilités de prêt marginal à 24 heures permettant de couvrir les insuffisances de liquidités
D. des facilités de dépôt marginal à 24 heures permettant d’absorber les liquidités excédentaires
77. Quelle hypothèse n’est pas une hypothèse du modèle ISLM (Hicks/Hansen) ?
A. il n’y a pas d’inflation à court terme
B. le taux d’intérêt est fixe
C. il y a sous-emploi des capacités productives
D. on raisonne en économie fermée
[FONT="][/FONT]
78. Que peut-on déduire du graphique ci-dessus ?
A. les agents économiques sont très sensibles aux variations du taux d’intérêt
B. les agents économiques sont peu sensibles aux variations du taux d’intérêt
C. l’investissement est peu sensible aux variations du taux d’intérêt
D. Aucune des réponses précédentes
79. Au sens de l’Insee, une personne inactive est :
A. un fainéant
B. ne personne n’ayant pas d’emploi et n’en cherchant pas
C. une personne n’ayant pas d’emploi et en cherchant un
D. un travailleur pauvre
80. Qui a écrit « les bonnes questions ne se satisfont pas de réponses faciles » :
A. Karl Marx
B. Paul A. Samuelson
C. John M. Keynes
D. Assen Slim
Premier Semestre – Première session 2009-2010
CPEI - Filière de commerce international - Année L2 - EXAMEN
CPE2A04 : MACROÉCONOMIE
Épreuve supplémentaire du Mercredi 19 mai 2010 : Durée : 1 heure
La machine à calculer est autorisée mais pas le téléphone portable
Enseignement de Monsieur AssenSLIM
Barème :
Une seule bonne réponse par question
+ 4 points par bonne réponse
0 point en cas d’absence de réponse
– 1 point par mauvaise réponse
« Les bonnes questions ne se satisfont pas de réponses faciles »
Paul Anthony Samuelson
The Sveriges Riksbank Prize in Economic Sciences in Memory of Alfred Nobel 1970
[FONT="]
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Source : Paul A. Samuelson - Biography (07/05/2010)
[FONT="]
[/FONT]
Les comptes de la Nations en 2008 : un fort ralentissement de l’activité.
[FONT="]
[/FONT] [FONT="]En 2008, le produit intérieur brut progresse de 0,4 % en moyenne annuelle, après + 2,3 % en 2007 et + 2,2 % en 2006. Corrigée du nombre de jours ouvrables, la croissance est minorée de 0,1 point, à + 0,3[/FONT].
[FONT="]L'activité recule à compter du printemps et ce recul s'accentue à l'automne. La faiblesse de l'activité est principalement due à la forte décélération de la demande intérieure : la consommation ralentit et l'investissement marque le pas; la croissance est aussi pénalisée par un mouvement de déstockage, particulièrement prononcé en fin d'année. Les échanges extérieurs sont également affectés : les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore[/FONT].
[FONT="]Le pouvoir d'achat des ménages ralentit fortement et leur taux d'épargne se replie un peu. Le taux de marge des sociétés non financières baisse. L'activité des sociétés financières stagne (INSEE)[/FONT].
[FONT="][/FONT]
Partage du PIB à prix courants en milliards d’euros et population en milliers d’habitants (en 2008)
Produit intérieur brut
1950,1
1409,6
451,6
427,2
515,6
563,8
5,3
Moins de 20 ans
15830,35
34363,43
14157,22
1608,78
1. Le produit intérieur brut (PIB) est égal à ?
A. la consommation + l’investissement + la variation de stocks + les dépenses publiques + les exportations
B. la somme des valeurs ajoutées brutes des entreprises nationales et étrangères présentes en France + la TVA + les droits de douanes
C. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation + les impôts liés à la production et à l’importation
D. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation - les impôts liés à la production et à l’importation
2. En 2008, le PIB français par habitant était de :
A. 30304 euros
B. 29565 euros
C. 1950,1 euros
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
3. En 2008, le ratio de dépendance vieillesse de la France était égal à :
A. 45,9 %
B. 41,2 %
C. 28,2 %
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
4. Les « Sociétés non financières » (SNF) évoquées dans le texte sont :
A. les banques
B. les entreprises qui produisent des biens et des services marchands
C. les administrations publiques
D. les associations sans but lucratif
5. L’expression « l’activité des sociétés financières stagne » laisse entendre que :
A. les taux d’intérêt augmentent
B. la valeur ajoutée des sociétés financières n’augmente pas
C. la consommation des ménages recule
D. la somme des rémunérations des salariés augmente
6. Pour un pays donné, lorsque « les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore », quelle sera l’évolution la plus plausible :
A. le taux d’ouverture s’améliore
B. le taux de couverture se dégrade
C. le taux de couverture s’améliore
D. le taux de couverture se dégrade
7. Le « pouvoir d’achet des ménages » évoqué dans le texte correspond :
A. au salaire nominal
B. au salaire anticipé
C. au salaire réel
D. au salaire permanent
8. Le « taux d’épargne » mentionné dans le texte correspond en macroéconomie :
A. à l’épargne + les transferts nets, le tout divisé par la formation brute de capital fixe + les stocks
B. à l’excédent brut d’exploitation divisé par la valeur ajoutée brute
C. à la propension moyenne à épargner
D. à la propension marginale à épargner
9.
A. motif de transaction
B. motif de filiation
C. motif de précaution
D. motif de spéculation
10. A partir du tableau, on peut affirmer que :
A. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,28
B. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,56
C. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,72
D. on ne peut rien dire car il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
11. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques sans impôts en économie fermée, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que la propension marginale à consommer française se situe à 0,73, que la FBCF est restée constante en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards d’euros en 2009 (par rapport à 2008) ? (la valeur du PIB de 2008 est donnée dans le tableau)
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1894,5 milliards d’euros
B. le PIB français devrait rester constant
C. le PIB français de 2009 vaudrait alors 2005,7 milliards d’euros
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
12. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques avec impôts en économie ouverte, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que les propensions marginales à consommer et à importer sont respectivement de 0,73 et 0,69, que le taux d’imposition moyen est de 25 % (t = 0,25), que la FBCF et les exportations sont restées constantes en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards en 2009 (par rapport à 2008) ?
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1963,2 milliards d’euros
B. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1937 milliards d’euros
C. le PIB français devrait rester constant
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
13. Dans une optique keynésienne, les stabilisateurs automatiques :
A. consistent à augmenter le taux d’imposition
B. permettent une augmentation des exportations
C. permettent un retour à l’équilibre budgétaire
D. entraînent un déficit budgétaire important
14. D’après John M. Keynes, la propension moyenne à consommer :
A. augmente lorsque le revenu augmente
B. reste constante lorsque le revenu augmente
C. décroît lorsque le revenu augmente
D. est toujours égale à 1
15. Simon Kuznets montre qu’à long terme, la propension moyenne à consommer est :
A. croissante
B. décroissante
C. constante
D. égale à 1
16. Parmi les quatre profils décrits ci-dessous quel est celui qui présente le plus de risque d’être au chômage ?
A. Julien, 23 ans, sans diplôme, résidant à Aniane (34)
B. Nadia, 33 ans, diplômée d’un master de Drehu aux Langues’ O et résidant à Maisons-Alfort (94)
C. Amélie, 23 ans, sans diplôme, résidant à Savignac-sur-Leyze (47)
D. Zuwena, 23 ans, sans diplôme, résidant à Paris (75)
17. Le taux de « pauvreté monétaire absolue » correspond :
A. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moyenne de la distribution des revenus
B. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moitié de la médiane de la distribution des revenus
C. à la part de la population vivant avec moins de 1,25 $ par jour
D. à la somme des racines carrées des écarts de revenus, le tout divisé par la moyenne de la distribution des revenus
18. Parmi les objectifs ci-dessous, quel est celui qui n’est pas un objectif de la protection sociale en France ?
A. Corriger les écarts de revenus
B. Reporter certaines ressources dans le temps
C. mettre des biens et services privés à la disposition de tous
D. prendre en charge les risques
19. Quelle est la plus importante source de financement de la sécurité sociale française ?
A. les impôts et taxes
B. les cotisations
C. les contributions publiques
D. les autres recettes (placements financiers principalement)
20. Les trois caisses du régime général de la sécurité sociale française sont :
A. employeurs, salariés, travailleurs indépendants
B. agricole, non salariés, chômeurs.
C. assurance maladie, allocations familiales, assurance-vieillesse
D. URSSAF, UNEDIC, CNAV
21. En matière de chômage, quelle est la durée maximale de perception de l’ARE :
A. 36 mois
B. 23 mois.
C. 11 mois
D. 4 mois
22. La PRE est versée :
A. aux demandeurs d’emploi qui arrivent au terme de leur droit de l’ARE
B. aux chômeurs qui viennent de retrouver un emploi salarié.
C. aux bénéficiaires du RSA qui viennent de retrouver un emploi salarié
D. aux personnes n’ayant pas encore 60 ans mais totalisant déjà 160 trimestres de cotisations
23. L’AER signifie :
A. allocation épargne retraite
B. aide à l’emploi retrouvé
C. allocation équivalent retraite
D. allocation épargne rémunérée
24. Trouvez l’erreur. Le financement des retraites par capitalisation :
A. permet à chaque actif de financer individuellement sa retraite
B. est basé sur la constitution d’un capital tout au long de la durée d’activité des individus
C. renforce la solidarité intergénérationnelle
D. constitue une bonne solution pour contourner un droit successoral
25. Le quotient familial se calcul de la manière suivante :
A. Revenu brut / nombre de part
B. Revenu net fiscal / nombre de parts
C. (Revenu brut – (Revenu brut x 0,10)) / nombre de parts
D. (Revenu net fiscal – (Revenu net fiscal x 0,10)) / nombre de parts
26. Les allocations familiales sont versées par la Caisse d’Allocations familiales (CAF) à partir :
A. du premier enfant
B. du deuxième enfant
C. du troisième enfant
D. du quatrième enfant
27. En France :
A. le RSA a remplacé le RMI en 1970
B. le RSA a remplacé le SMIG en 1970
C. le RSA a remplacé le RMI en 2009
D. le RSA a remplacé le SMIC en 2009
28. Le mouvement en faveur de la décroissance :
A. reconnaît que les économistes ont toujours raison
B. soutient le développement durable
C. admet qu’il pourrait y avoir, au moins dans un premier temps, une croissance du PIB dans une société de décroissance
D. prône l’augmentation de la consommation
29. Quel est le taux optimal d’imposition des activités économiques selon les libéraux ?
A. 30 %
B. 45 %
C. 75 %
D. 80 à 90 %
30. La culture, au sens sociologique du terme, est :
A. le développement méthodique du corps par des exercices appropriés et gradués
B. la méthode consistant à faire croître des micro-organismes en milieu approprié
C. l’ensemble des valeurs, des normes et comportements qui sont partagés par les membres d’une société
D. l’ensemble des opérations propres à tirer du sol les végétaux utiles à l’homme et aux animaux domestiques
31. L’élasticité-revenu de la demande des biens dits « supérieurs » (bien culturels par exemple) :
A. varie entre ] – [FONT="]∞ ; 0 [/FONT][
B. varie entre [ 0 ; 1 ]
C. varie entre ] 1 ; + [FONT="]∞ [/FONT][
D. n’existe pas
32. Lorsque l’élasticité-prix croisée de la demande d’un bien (i) par rapport à un autre (k) est inférieure à zéro (Epi/dk < 0), alors on peut dire que :
A. les biens i et k sont indépendants
B. les biens i et k sont substituables
C. les biens i et k sont complémentaires
D. les biens i et k sont normaux
33. Quel est le premier économiste à avoir soutenu que le consommateur n’était pas le roi du marché et que les entreprises, par la standardisation et le marketing, sont en situation de créer les besoins de leurs clients afin d’écouler leurs produits ?
A. J. K. Galbraith
B. P. A. Samuleson
C. H. Ford
D. R. Auckenthaler
34. Parmi les objectifs suivants, lequel ne constitue pas un objectif prioritaire retenu dans le « carré magique » de Kaldor ?
A. taux de chômage faible
B. solde de la balance des transactions courantes positif
C. taux d’inflation fort
35. Dans le cadre de l’économie monétaire :
A. ce sont les facilités permanentes qui font les réserves obligatoires
B. ce sont les réserves obligatoires qui font les facilités permanentes
C. ce sont les dépôts font les crédits
D. ce sont les crédits font les dépôts
36. Les opérations d’open-market sont :
A. des achats et de ventes fermes ou temporaires de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
B. réalisées par les banques commerciales qui constituent des dépôts faiblement rémunérés auprès de la banque centrale
C. des facilités de prêt marginal à 24 heures permettant de couvrir les insuffisances de liquidités
D. des facilités de dépôt marginal à 24 heures permettant d’absorber les liquidités excédentaires
37. Quelle hypothèse n’est pas une hypothèse du modèle ISLM (Hicks/Hansen) ?
A. il n’y a pas d’inflation à court terme
B. le taux d’intérêt est fixe
C. il y a sous-emploi des capacités productives
D. on raisonne en économie fermée
[FONT="]
38. Que peut-on déduire du graphique ci-dessus ?
A. les agents économiques sont très sensibles aux variations du taux d’intérêt
B. les agents économiques sont peu sensibles aux variations du taux d’intérêt
C. l’investissement est peu sensible aux variations du taux d’intérêt
D. Aucune des réponses précédentes
39. Au sens de l’Insee, une personne inactive est :
A. un fainéant
B. ne personne n’ayant pas d’emploi et n’en cherchant pas
C. une personne n’ayant pas d’emploi et en cherchant un
40. Qui a écrit « les bonnes questions ne se satisfont pas de réponses faciles » :
A. Karl Marx
B. Paul A. Samuelson
C. John M. Keynes
D. Assen Slim
REPONSES :
Les comptes de la Nations en 2008 : un fort ralentissement de l’activité.
[FONT="]
[/FONT] [FONT="]En 2008, le produit intérieur brut progresse de 0,4 % en moyenne annuelle, après + 2,3 % en 2007 et + 2,2 % en 2006. Corrigée du nombre de jours ouvrables, la croissance est minorée de 0,1 point, à + 0,3[/FONT].
[FONT="]L'activité recule à compter du printemps et ce recul s'accentue à l'automne. La faiblesse de l'activité est principalement due à la forte décélération de la demande intérieure : la consommation ralentit et l'investissement marque le pas; la croissance est aussi pénalisée par un mouvement de déstockage, particulièrement prononcé en fin d'année. Les échanges extérieurs sont également affectés : les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore[/FONT].
[FONT="]Le pouvoir d'achat des ménages ralentit fortement et leur taux d'épargne se replie un peu. Le taux de marge des sociétés non financières baisse. L'activité des sociétés financières stagne (INSEE)[/FONT].
[FONT="][/FONT]
Partage du PIB à prix courants en milliards d’euros et population en milliers d’habitants (en 2008)
Produit intérieur brut
1950,1
1409,6
451,6
427,2
515,6
563,8
5,3
Moins de 20 ans
15830,35
34363,43
14157,22
1608,78
41. Le produit intérieur brut (PIB) est égal à ?
A. la consommation + l’investissement + la variation de stocks + les dépenses publiques + les exportations
B. la somme des valeurs ajoutées brutes des entreprises nationales et étrangères présentes en France + la TVA + les droits de douanes
C. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation + les impôts liés à la production et à l’importation
D. la somme des rémunérations des salariés + les excédents bruts d’exploitation - les impôts liés à la production et à l’importation
42. En 2008, le PIB français par habitant était de :
A. 30304 euros
B. 29565 euros
C. 1950,1 euros
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
43. En 2008, le ratio de dépendance vieillesse de la France était égal à :
A. 45,9 %
B. 41,2 %
C. 28,2 %
D. on ne peut rien dire, il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
44. Les « Sociétés non financières » (SNF) évoquées dans le texte sont :
A. les banques
B. les entreprises qui produisent des biens et des services marchands
C. les administrations publiques
D. les associations sans but lucratif
45. L’expression « l’activité des sociétés financières stagne » laisse entendre que :
A. les taux d’intérêt augmentent
B. la valeur ajoutée des sociétés financières n’augmente pas
C. la consommation des ménages recule
D. la somme des rémunérations des salariés augmente
46. Pour un pays donné, lorsque « les exportations cessent de croître, et le ralentissement des importations est plus prononcé encore », quelle sera l’évolution la plus plausible :
A. le taux d’ouverture s’améliore
B. le taux de couverture se dégrade
C. le taux de couverture s’améliore
D. le taux de couverture se dégrade
47. Le « pouvoir d’achet des ménages » évoqué dans le texte correspond :
A. au salaire nominal
B. au salaire anticipé
C. au salaire réel
D. au salaire permanent
48. Le « taux d’épargne » mentionné dans le texte correspond en macroéconomie :
A. à l’épargne + les transferts nets, le tout divisé par la formation brute de capital fixe + les stocks
B. à l’excédent brut d’exploitation divisé par la valeur ajoutée brute
C. à la propension moyenne à épargner
D. à la propension marginale à épargner
49.
A. motif de transaction
B. motif de filiation
C. motif de précaution
D. motif de spéculation
50. A partir du tableau, on peut affirmer que :
A. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,28
B. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,56
C. En 2008, la propension moyenne à épargner vaut 0,72
D. on ne peut rien dire car il n’y a pas assez d’informations dans le tableau
51. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques sans impôts en économie fermée, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que la propension marginale à consommer française se situe à 0,73, que la FBCF est restée constante en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards d’euros en 2009 (par rapport à 2008) ? (la valeur du PIB de 2008 est donnée dans le tableau)
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1894,5 milliards d’euros
B. le PIB français devrait rester constant
C. le PIB français de 2009 vaudrait alors 2005,7 milliards d’euros
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
52. Dans le cadre théorique du multiplicateur keynésien des dépenses publiques avec impôts en économie ouverte, quelle est la valeur du PIB en 2009, sachant que les propensions marginales à consommer et à importer sont respectivement de 0,73 et 0,69, que le taux d’imposition moyen est de 25 % (t = 0,25), que la FBCF et les exportations sont restées constantes en 2009 (par rapport à 2008) et que les dépenses publiques ont décru de 15 milliards en 2009 (par rapport à 2008) ?
A. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1963,2 milliards d’euros
B. le PIB français de 2009 vaudrait alors 1937 milliards d’euros
C. le PIB français devrait rester constant
D. On ne peut rien dire, car il manque des informations dans l’énoncé
53. Dans une optique keynésienne, les stabilisateurs automatiques :
A. consistent à augmenter le taux d’imposition
B. permettent une augmentation des exportations
C. permettent un retour à l’équilibre budgétaire
D. entraînent un déficit budgétaire important
54. D’après John M. Keynes, la propension moyenne à consommer :
A. augmente lorsque le revenu augmente
B. reste constante lorsque le revenu augmente
C. décroît lorsque le revenu augmente
D. est toujours égale à 1
55. Simon Kuznets montre qu’à long terme, la propension moyenne à consommer est :
A. croissante
B. décroissante
C. constante
D. égale à 1
56. Parmi les quatre profils décrits ci-dessous quel est celui qui présente le plus de risque d’être au chômage ?
A. Julien, 23 ans, sans diplôme, résidant à Aniane (34)
B. Nadia, 33 ans, diplômée d’un master de Drehu aux Langues’ O et résidant à Maisons-Alfort (94)
C. Amélie, 23 ans, sans diplôme, résidant à Savignac-sur-Leyze (47)
D. Zuwena, 23 ans, sans diplôme, résidant à Paris (75)
57. Le taux de « pauvreté monétaire absolue » correspond :
A. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moyenne de la distribution des revenus
B. à la part de la population dont les revenus sont inférieurs ou égaux à la moitié de la médiane de la distribution des revenus
C. à la part de la population vivant avec moins de 1,25 $ par jour
D. à la somme des racines carrées des écarts de revenus, le tout divisé par la moyenne de la distribution des revenus
58. Parmi les objectifs ci-dessous, quel est celui qui n’est pas un objectif de la protection sociale en France ?
A. Corriger les écarts de revenus
B. Reporter certaines ressources dans le temps
C. mettre des biens et services privés à la disposition de tous
D. prendre en charge les risques
59. Quelle est la plus importante source de financement de la sécurité sociale française ?
A. les impôts et taxes
B. les cotisations
C. les contributions publiques
D. les autres recettes (placements financiers principalement)
60. Les trois caisses du régime général de la sécurité sociale française sont :
A. employeurs, salariés, travailleurs indépendants
B. agricole, non salariés, chômeurs.
C. assurance maladie, allocations familiales, assurance-vieillesse
D. URSSAF, UNEDIC, CNAV
61. En matière de chômage, quelle est la durée maximale de perception de l’ARE :
A. 36 mois
B. 23 mois.
C. 11 mois
D. 4 mois
62. La PRE est versée :
A. aux demandeurs d’emploi qui arrivent au terme de leur droit de l’ARE
B. aux chômeurs qui viennent de retrouver un emploi salarié.
C. aux bénéficiaires du RSA qui viennent de retrouver un emploi salarié
D. aux personnes n’ayant pas encore 60 ans mais totalisant déjà 160 trimestres de cotisations
63. L’AER signifie :
A. allocation épargne retraite
B. aide à l’emploi retrouvé
C. allocation équivalent retraite
D. allocation épargne rémunérée
64. Trouvez l’erreur. Le financement des retraites par capitalisation :
A. permet à chaque actif de financer individuellement sa retraite
B. est basé sur la constitution d’un capital tout au long de la durée d’activité des individus
C. renforce la solidarité intergénérationnelle
D. constitue une bonne solution pour contourner un droit successoral
65. Le quotient familial se calcul de la manière suivante :
A. Revenu brut / nombre de part
B. Revenu net fiscal / nombre de parts
C. (Revenu brut – (Revenu brut x 0,10)) / nombre de parts
D. (Revenu net fiscal – (Revenu net fiscal x 0,10)) / nombre de parts
66. Les allocations familiales sont versées par la Caisse d’Allocations familiales (CAF) à partir :
A. du premier enfant
B. du deuxième enfant
C. du troisième enfant
D. du quatrième enfant
67. En France :
A. le RSA a remplacé le RMI en 1970
B. le RSA a remplacé le SMIG en 1970
C. le RSA a remplacé le RMI en 2009
D. le RSA a remplacé le SMIC en 2009
68. Le mouvement en faveur de la décroissance :
A. reconnaît que les économistes ont toujours raison
B. soutient le développement durable
C. admet qu’il pourrait y avoir, au moins dans un premier temps, une croissance du PIB dans une société de décroissance
D. prône l’augmentation de la consommation
69. Quel est le taux optimal d’imposition des activités économiques selon les libéraux ?
A. 30 %
B. 45 %
C. 75 %
D. 80 à 90 %
70. La culture, au sens sociologique du terme, est :
A. le développement méthodique du corps par des exercices appropriés et gradués
B. la méthode consistant à faire croître des micro-organismes en milieu approprié
C. l’ensemble des valeurs, des normes et comportements qui sont partagés par les membres d’une société
D. l’ensemble des opérations propres à tirer du sol les végétaux utiles à l’homme et aux animaux domestiques
71. L’élasticité-revenu de la demande des biens dits « supérieurs » (bien culturels par exemple) :
A. varie entre ] – [FONT="]∞ ; 0 [/FONT][
B. varie entre [ 0 ; 1 ]
C. varie entre ] 1 ; + [FONT="]∞ [/FONT][
D. n’existe pas
72. Lorsque l’élasticité-prix croisée de la demande d’un bien (i) par rapport à un autre (k) est inférieure à zéro (Epi/dk < 0), alors on peut dire que :
A. les biens i et k sont indépendants
B. les biens i et k sont substituables
C. les biens i et k sont complémentaires
D. les biens i et k sont normaux
73. Quel est le premier économiste à avoir soutenu que le consommateur n’était pas le roi du marché et que les entreprises, par la standardisation et le marketing, sont en situation de créer les besoins de leurs clients afin d’écouler leurs produits ?
A. J. K. Galbraith
B. P. A. Samuleson
C. H. Ford
D. R. Auckenthaler
74. Parmi les objectifs suivants, lequel ne constitue pas un objectif prioritaire retenu dans le « carré magique » de Kaldor ?
A. taux de chômage faible
B. solde de la balance des transactions courantes positif
C. taux d’inflation fort
75. Dans le cadre de l’économie monétaire :
A. ce sont les facilités permanentes qui font les réserves obligatoires
B. ce sont les réserves obligatoires qui font les facilités permanentes
C. ce sont les dépôts font les crédits
D. ce sont les crédits font les dépôts
76. Les opérations d’open-market sont :
A. des achats et de ventes fermes ou temporaires de titres par la banque centrale sur le marché monétaire
B. réalisées par les banques commerciales qui constituent des dépôts faiblement rémunérés auprès de la banque centrale
C. des facilités de prêt marginal à 24 heures permettant de couvrir les insuffisances de liquidités
D. des facilités de dépôt marginal à 24 heures permettant d’absorber les liquidités excédentaires
77. Quelle hypothèse n’est pas une hypothèse du modèle ISLM (Hicks/Hansen) ?
A. il n’y a pas d’inflation à court terme
B. le taux d’intérêt est fixe
C. il y a sous-emploi des capacités productives
D. on raisonne en économie fermée
[FONT="][/FONT]
78. Que peut-on déduire du graphique ci-dessus ?
A. les agents économiques sont très sensibles aux variations du taux d’intérêt
B. les agents économiques sont peu sensibles aux variations du taux d’intérêt
C. l’investissement est peu sensible aux variations du taux d’intérêt
D. Aucune des réponses précédentes
79. Au sens de l’Insee, une personne inactive est :
A. un fainéant
B. ne personne n’ayant pas d’emploi et n’en cherchant pas
C. une personne n’ayant pas d’emploi et en cherchant un
D. un travailleur pauvre
80. Qui a écrit « les bonnes questions ne se satisfont pas de réponses faciles » :
A. Karl Marx
B. Paul A. Samuelson
C. John M. Keynes
D. Assen Slim