GuL-i YaReN
Well-known member
[FONT="]Une Femme Du Paradis...
Tout comme Oum Sharik, l’histoire connut aussi Al Rhoumaysâ’ (ou Oum Soulaym), la mère d’Anas Ibn Mâlik. Le Prophète SAW dit à ce sujet : [/FONT]
[FONT="]« Je suis entré au Paradis et j’ai entendu quelqu’un bouger. C’était Al Rhoumaysâ’ la fille de Milhane. »[/FONT]
[FONT="]Rapporté par Al-Boukhârî [FONT="] C’était une femme merveilleuse. Cette mecquoise était mariée à Mâlik Ibn Annadr. Elle faisait partie des premiers musulmans. Mais quand elle proposa à son mari de se convertir également, il refusa catégoriquement. Un jour, il lui demanda de l’accompagner dans un voyage au Shâm. [FONT="]Elle refusa. Il fit donc ce voyage sans elle et y perdit la vie. [FONT="]Beaucoup d’hommes voulurent ensuite l’épouser car c’était une femme à la fois belle et mature. [FONT="]Parmi eux, il y avait Abou Talha Al-An ârî. A cette époque, il n’était pas encore musulman. Elle lui dit : [FONT="]-[/FONT][FONT="]Je ne nie pas que je t’accepte en tant qu’homme, on ne refuse pas un homme comme toi mais tu n’es pas musulman et moi je le suis. Le prix de ma dot sera donc ta conversion à l’Islam. Je ne te demanderai rien d’autre. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Tu sais bien quelle est ma religion. Je ne peux pas l’abandonner comme ça… [FONT="]-[/FONT][FONT="]O Abou Talha ! Le dieu que tu adores n’est-il pas fabriqué par un apprenti esclave de telle tribu, Lui dit-elle. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Oui en effet. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Tu n’as donc pas honte d’adorer un dieu en bois fait par un apprenti esclave, Si tu deviens musulman, je suis à toi ô Abou Talha. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Donne-moi un peu de temps, je vais y réfléchir. Lui répondit-il. [FONT="] Il n’a pas trop tardé. Il revint attester qu’il n’y a point de divinité en dehors d’Allah et que Mohammed est Son Messager. Elle était tellement heureuse qu’elle annonça la nouvelle à son fils Anas. Ils se marièrent. Il n’y a jamais eu de dot plus bénie que la sienne : l’Islam.[/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT]
[FONT="]Remarque donc chère sœur comment cette femme s’est dévalorisée pour sa religion. Elle était très convoitée et elle avait le droit d’exiger plus encore pour sa dot, mais elle a privilégié sa religion. Elle fait partie de ces femmes qui ne vivent que pour l’Islam. Leur seul souci est de le propager dans le cœur d’un maximum de gens. [/FONT]
[FONT="] Mieux encore. Quand le Prophète SAWS est venu à Médine, les An âr, en l’occurrence ceux qui lui ont offert un refuge, sortirent tous en fête pour l’accueillir. Ils vinrent tous lui souhaiter la bienvenue. Oum Soulaym, avant de s’y rendre, voulait lui donner quelque chose. Elle ne trouva pas plus cher à ses yeux que son propre fils Anas. [FONT="]Une fois devant le Prophète SAW, elle lui dit : [/FONT][/FONT]
[FONT="]-[/FONT][FONT="]O Messager d’Allah je te présente Anas. Il te sera toujours fidèle et sera toujours à ton service. [/FONT]
[FONT="]Et elle repartit. Ainsi, Anas Ibn Mâlik ne quitta jamais le Prophète SAWS et joua un rôle important dans l’Islam.
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Tout comme Oum Sharik, l’histoire connut aussi Al Rhoumaysâ’ (ou Oum Soulaym), la mère d’Anas Ibn Mâlik. Le Prophète SAW dit à ce sujet : [/FONT]
[FONT="]« Je suis entré au Paradis et j’ai entendu quelqu’un bouger. C’était Al Rhoumaysâ’ la fille de Milhane. »[/FONT]
[FONT="]Rapporté par Al-Boukhârî [FONT="] C’était une femme merveilleuse. Cette mecquoise était mariée à Mâlik Ibn Annadr. Elle faisait partie des premiers musulmans. Mais quand elle proposa à son mari de se convertir également, il refusa catégoriquement. Un jour, il lui demanda de l’accompagner dans un voyage au Shâm. [FONT="]Elle refusa. Il fit donc ce voyage sans elle et y perdit la vie. [FONT="]Beaucoup d’hommes voulurent ensuite l’épouser car c’était une femme à la fois belle et mature. [FONT="]Parmi eux, il y avait Abou Talha Al-An ârî. A cette époque, il n’était pas encore musulman. Elle lui dit : [FONT="]-[/FONT][FONT="]Je ne nie pas que je t’accepte en tant qu’homme, on ne refuse pas un homme comme toi mais tu n’es pas musulman et moi je le suis. Le prix de ma dot sera donc ta conversion à l’Islam. Je ne te demanderai rien d’autre. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Tu sais bien quelle est ma religion. Je ne peux pas l’abandonner comme ça… [FONT="]-[/FONT][FONT="]O Abou Talha ! Le dieu que tu adores n’est-il pas fabriqué par un apprenti esclave de telle tribu, Lui dit-elle. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Oui en effet. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Tu n’as donc pas honte d’adorer un dieu en bois fait par un apprenti esclave, Si tu deviens musulman, je suis à toi ô Abou Talha. [FONT="]-[/FONT][FONT="]Donne-moi un peu de temps, je vais y réfléchir. Lui répondit-il. [FONT="] Il n’a pas trop tardé. Il revint attester qu’il n’y a point de divinité en dehors d’Allah et que Mohammed est Son Messager. Elle était tellement heureuse qu’elle annonça la nouvelle à son fils Anas. Ils se marièrent. Il n’y a jamais eu de dot plus bénie que la sienne : l’Islam.[/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT][/FONT]
[FONT="]Remarque donc chère sœur comment cette femme s’est dévalorisée pour sa religion. Elle était très convoitée et elle avait le droit d’exiger plus encore pour sa dot, mais elle a privilégié sa religion. Elle fait partie de ces femmes qui ne vivent que pour l’Islam. Leur seul souci est de le propager dans le cœur d’un maximum de gens. [/FONT]
[FONT="] Mieux encore. Quand le Prophète SAWS est venu à Médine, les An âr, en l’occurrence ceux qui lui ont offert un refuge, sortirent tous en fête pour l’accueillir. Ils vinrent tous lui souhaiter la bienvenue. Oum Soulaym, avant de s’y rendre, voulait lui donner quelque chose. Elle ne trouva pas plus cher à ses yeux que son propre fils Anas. [FONT="]Une fois devant le Prophète SAW, elle lui dit : [/FONT][/FONT]
[FONT="]-[/FONT][FONT="]O Messager d’Allah je te présente Anas. Il te sera toujours fidèle et sera toujours à ton service. [/FONT]
[FONT="]Et elle repartit. Ainsi, Anas Ibn Mâlik ne quitta jamais le Prophète SAWS et joua un rôle important dans l’Islam.
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